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08 Dec

JERUSALEM CAPITALE ETERNELLE D'ISRAEL

Publié par Billy Jacques

Jérusalem capitale d'Israël, une épidémie de fièvre haineuse frappe le monde musulman Donald Trump, homme de parole et de courage, a pris une décision juste. Que Dieu le bénisse et le protège ! Transférer l’ambassade des USA à Jérusalem signifie reconnaître officiellement la ville du Roi David comme la capitale d’Israël. Une vérité historique, n’en déplaise aux négationnistes de l’histoire du peuple Juif ! Toutefois, cette héroïque décision de Donald Trump enflamme déjà le monde musulman et inquiète l’Occident, toujours aussi courageux. D’ores et déjà, des menaces à peine voilées fusent. C’est ainsi que les arabo-musulmans ont toujours progressé, en distillant la peur dans le cœur des mécréants. Toute cette agitation planétaire prouve une fois encore qu’Israël, ce petit pays, est bien le centre du monde. Le Hamas a promis une escalade de l’intifada si l’Administration américaine devait reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël. Selon cette organisation terroriste, cette reconnaissance équivaudrait à une flagrante agression à l’encontre de la loi internationale, qui considère Jérusalem comme un « territoire occupé « . Toujours d’après les terroristes du Hamas, reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël est une façon de légitimer le crime de la judaïsation de la ville et l’expulsion des « Arabo-palestiniens ». Les Juifs veulent judaïser Jérusalem, leur capitale ancestrale! C’est la blague du siècle ! Si crime il y a, c’est la réécriture honteuse de l’histoire de Jérusalem par l’UNESCO via la négation de tout lien entre le peuple juif et Jérusalem, capitale fondée par le Roi David il y a plus de trois mille ans. L’Autorité palestinienne a mis en garde les USA : « Cette décision mettra fin à toute possibilité d’un accord de paix. » Les hypocrites : ils ne veulent pas la paix, mais l’éradication pure et simple d’Israël et de son peuple. Jérusalem est la capitale une et indivisible d’Israël et ainsi elle le restera. Un état palestinien avec Jérusalem-Est comme capitale serait une aberration totale. Le ministère des Affaires étrangères égyptien a appelé Washington à agir avec « sagesse » par rapport à toute décision relative à la Ville sainte, afin d’éviter d’accroître la tension dans la région. L’antisémite université al Azhar du Caire, l’un des principaux centres d’enseignement de l’islam sunnite, a mis en garde Washington. Une reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’Etat hébreu alimenterait des sentiments de rage dans le monde musulman, menacerait la paix dans le monde et approfondirait la tension, la division et la haine des musulmans… Toujours animés de bons et pieux sentiments les fidèles d’Allah. Ils ont la rage haineuse chevillée au corps. En Jordanie, le ministre des Affaires étrangères a averti le Secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, que cette décision suscitera une très grande colère à travers tout le monde arabe. Et le colérique sultan d’Ankara a fait remarquer que le statut de Jérusalem est la ligne rouge à ne pas franchir. Lui, il y a longtemps qu’il a franchi la ligne rouge de la démocratie dans son propre pays! Quant au président jupitérien, il a exprimé sa grande préoccupation lors d’une conversation téléphonique avec Donald Trump. Selon lui, la question du statut de Jérusalem doit trouver la solution dans les négociations de paix entre Israéliens et « Palestiniens ». Quel doux rêveur ! Il serait illusoire d’attendre un quelconque soutien de la part de l’UE, trop occupée à poursuivre l’islamisation de ses états membres et à apaiser les nations arabes, quitte à cautionner le déni des droits historiques des Israéliens à leur terre ancestrale. L’UE, en soutenant les résolutions infâmes de l’UNESCO, est complice de l’appropriation et de l’islamisation du patrimoine spirituel et culturel du peuple juif par les Arabo-Palestiniens. Ces derniers, n’ayant pas de passé historique, s’approprient de l’histoire d’Israël, l’arabisent et l’islamisent. Tradition musulmane, qui se poursuit sans trêve depuis de 14 siècles ! Juste pour rappel, Jérusalem est mentionné 669 fois dans la Torah et Sion, qui signifie Jérusalem, parfois la terre d’Israël, 154 fois, soit 823 fois au total. Dans les Evangiles, Jérusalem est mentionnée 154 fois et Sion 7 fois. Dans le coran, Jérusalem et Sion apparaissent aussi souvent que dans le Hindu Bhagava-Gita, le Taoist Tao-Te Ching, le Buddhist Dhamapada et le Zorostrian Zend Avesta, c’est à dire pas une seule fois. Alors, claironner que Jérusalem est le troisième lieu saint de l’islam est un mensonge colossal. Hélas, plus le mensonge est gros, plus il passe facilement. Quant à la mosquée d’Al-Aqsa, le soi disant « troisième lieu le plus saint de l’islam », elle fut construite sur le Mont du Temple, le site le plus sacré du Judaïsme, à l’emplacement du deuxième Temple, détruit par Titus, le fils de l’empereur Vespasien, en l’an 70 après Jésus-Christ. Aujourd’hui encore dans la ville de Rome, il existe un témoignage de la destruction de Jérusalem par les Romains. Il s’agit de l’Arc de Titus, un arc bâti à l’entrée des forums romains en souvenir du triomphe de Titus. Sur l’une des fresques de l’arc de Titus, on peut apercevoir des Romains porter la Ménorah, le chandelier à sept branches des Hébreux. Il faisait partie des trésors trouvés dans le temple de Jérusalem et rapportés à Rome. Temple, qui selon les Arabo-Palestiniens n’a jamais existé ! Nier l’existence du temple de Jérusalem, c’est aussi nier l’histoire de l’Empire romain, celle du christianisme, mais ce n’est pas cela qui perturbera les effaceurs de l’histoire d’Israël. Cette mosquée a toujours été au centre du conflit arabo-israélien. Quasi toutes les organisations politiques arabes connues ont exprimé le vœu de « libérer Al-Aqsa de « l’occupation juive. » Comment un pays peut-il occuper une terre, une capitale qui lui appartiennent depuis des millénaires ? Mystère arabo-musulman ! Une petite anecdote sur l’histoire de Jérusalem du début du XXe siècle, peu connue en Occident, et qui démontre l’intérêt très limité des musulmans pour Jérusalem à cette époque-là. Jérusalem n’est devenue « précieuse » pour les Arabo-Palestiniens qu’après 1967. En 1917, les maîtres turcs de Jérusalem, très courageux devant la progression des troupes britanniques, préférèrent abandonner la ville au lieu de la défendre et l’évacuèrent avant l’arrivée des soldats britanniques. Ils avaient, toutefois, pris la décision de faire raser la ville sainte après leur départ. Jamel Pasha, le commandant en chef ottoman, donna l’ordre à ses alliés autrichiens de détruire la ville, de l’envoyer en enfer, si les Britanniques devaient y pénétrer. Les Autrichiens pointèrent donc leurs armes sur le Dôme du Rocher avec suffisamment de munitions pour soutenir un bombardement intensif de deux jours. D’après le journaliste Pierre van Paasen, si le Dôme existe encore aujourd’hui, c’est grâce à un capitaine d’artillerie juif de l’armée autrichienne, Marek Schwartz, qui au lieu de répondre à l’avancée des troupes britanniques par un barrage de feu contre le Dôme, décida de désobéir aux ordres et rejoignit tranquillement les lignes britanniques. Mahmoud Abbas, le roi Abdallah de Jordanie et le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi ont joint leurs voix au chœur des lâches et des mécontents, avertissant Donald Trump que toute décision unilatérale des Etats-Unis en faveur de Jérusalem comme capitale d’Israël pourrait déclencher une énorme tempête. Le contraire aurait été la surprise du siècle. Les États-Unis se sont pliés à ce chantage pendant des décennies. Par sa juste et courageuse décision, Donald Trump envoie un signal fort : nous ne serons plus intimidés. Les menaces d’un djihad nous rendront plus forts à long terme. Nous ne serons plus manipulés par vos promesses de violence. De toute façon, les Arabo-Palestiniens mènent le djihad contre Israël depuis des décennies. La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël ne constituera que le dernier prétexte à la justification d’un énième déferlement de haine et de violence, car ces gens ne veulent pas la paix avec Israël, mais sa destruction. Si l’Occident n’était pas aussi frileux, lâche et faible, il se joindrait à Israël et à Donald Trump au lieu de les juger, les condamner, les supplier de céder au chantage perpétuel des Arabo-Palestiniens. Face à ce front uni, les arabo-musulmans seraient moins arrogants, car ils méprisent la faiblesse, mais reculent devant la force. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Le jour est arrivé : le Président américain va non seulement tenir sa promesse de campagne concernant le déplacement de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem, mais il va encore plus loin en déclarant que Jérusalem est la capitale d’Israël. Pour mémoire, Taïwan, la République de Vanuatu, la Russie et à la Tchécoslovaquie ont reconnu Jérusalem comme capitale officielle d’Israël. Donald Trump l’avait promis durant sa campagne. À peine élu, il s’empresserait de déplacer l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem, capitale d’Israël non reconnue par la communauté internationale, et pourtant, dans les faits, son centre administratif. Le président Trump est pourtant, provisoirement, revenu sur sa parole, promettant tout de même de s’exécuter avant la fin de son mandat. Cela peut se comprendre, de la part d’un homme qui a bâti sa carrière sur «l’art de la négociation» et assure être capable de conclure le deal le plus difficile de tous les temps, rien de moins que la résolution du conflit israélo-arabe. 1- Israël est le seul pays au monde dont la capitale officielle n’est pas reconnue La problématique, plus délicate qu’elle n’y paraît, remonte à une loi du 23 octobre 1995 votée par le Congrès qui impose le déplacement de l’ambassade, mais laisse au président en exercice la possibilité d’en retarder l’échéance tous les six mois, pour des raisons de sécurité. Israël est le seul pays au monde dont la capitale officielle n’est pas reconnue. Les ambassades de la quasi totalité des pays sont donc établies à Tel Aviv, à quelques soixante kilomètres des ministères. Depuis cette fameuse loi, chaque président américain, de Clinton à Obama en passant par George W. Bush a reconduit l’échéance qui tombe le 1er décembre et le 1er juin. Les raisons en sont toujours les mêmes. Pression du monde arabe, chantage au terrorisme, volonté de trouver une solution au conflit par l’établissement de deux pays pour deux peuples se partageant la capitale, intérêts financiers liés aux hydrocarbures. Cette année, cependant, montre sous un jour nouveau sur ce qui apparaît comme une simple formalité. Il aurait suffi en effet, au président Trump de ne rien faire, autrement dit ne pas signer le document de reconduction, pour que David Friedman, le nouvel ambassadeur américain, établisse son quartier général à Jérusalem plutôt qu’à Tel Aviv. Cela semblerait logique puisque, quel que soit le statut final de la ville trois fois sainte, Jérusalem ouest restera rattachée à Israël. Quant aux Palestiniens, leur centre administratif, y compris l’incroyablement luxueux palais présidentiel de Mahmud Abbas, est établi à Ramallah. Pourquoi, dans ce cas, une telle frénésie autour d’un événement qui, tout compte fait, n’aurait d’autre valeur que symbolique? Justement. Au Moyen Orient les symboles ont une force qui surpasse la logique ou le simple pragmatisme. Mais, tout d’abord, quelques faits historiques et religieux qu’il n’est pas inutile de rappeler. En 1870, d’après plusieurs études, regroupant, entre autres, celles de Karl Marx, Gerardy Santine, et Nu‘aman Al Qasatli, mais laissant de côté le recensement effectué par l’empire Ottoman, car celui-ci ne tenait compte que ses citoyens officiels, la population de Jérusalem se décomposait de la façon suivante: 11.000 Juifs, 6500 Musulmans, 4500 Chrétiens. 2- Le plan de l’ONU de 1947, qui devait donner naissance à deux pays, prévoyait l’internationalisation de Jérusalem Une grande majorité de Juifs, donc, malgré une réécriture progressive de l’histoire de la région à fins de propagande. Le plan de l’ONU de 1947, qui devait donner naissance à deux pays, l’un Juif et l’autre Arabe dans les 20% restant de la Palestine mandataire, prévoyait l’internationalisation de Jérusalem. Sans le refus arabe, traduit dans les faits par l’attaque des cinq pays limitrophes du tout jeune État hébreu, avec une volonté génocidaire affichée, la fameuse «Naqba» ou «Catastrophe», c’est-à-dire le départ volontaire ou non de quelques centaines de milliers de Palestiniens devenus «réfugiés», n’aurait jamais eu lieu. Il est clair que les leaders arabes ne s’attendaient pas à ce que le jeune pays, refuge des survivants des camps de la mort, repousse leurs armées d’invasion. L’une des batailles les plus acharnées fut celle pour la libération de Jérusalem. La Jordanie s’empara de la partie est de la ville, en chassa tous les Juifs, détruisit 60 synagogues, et désacralisa la quasi totalité des cimetières. De ce jour, et jusqu’en 1967, les Juifs n’eurent plus accès à leur lieu saint le plus sacré, le mur des lamentations, désormais sous contrôle jordanien. Il est à noter qu’à peine cette partie de Jérusalem conquise, le royaume s’en désintéressa totalement jusqu’en 67, où elle devient officiellement le «troisième lieu saint de l’Islam». Au cours des dix-neuf années qui suivirent, aucun chef de gouvernement arabe ne s’y rendit en visite officielle, ne serait-ce que pour prier au dôme du rocher ou à la mosquée Al Aqsa. Des photographies d’époque montrent des bâtiments mal entretenus, entourant une esplanade envahie par les herbes hautes. La vieille ville de Jérusalem, Al Quds pour les musulmans, ne présentait plus d’intérêt, puisqu’elle leur appartenait. Un intérêt qui d’ailleurs ne s’est jamais révélé au cours des siècles, si ce n’est au tout début de l’ère islamique, lorsque, 40 ans après la mort du prophète Mahomet, le calife Umar ibn Al-Kattâb, décida de permettre aux fidèles syriens d’y effectuer un pèlerinage, puisqu’ils étaient interdits de séjour à la Mecque. Ainsi que l’indique le professeur Gabriel Barkay, historien et archéologue: «Il substituait ainsi le rocher blanc de la fondation du monde à la Kaaba, la météorite noire d’Arabie». Pour justifier sa décision, Al-Kattâb se servit d’une légende présente dans le Coran, selon laquelle le prophète Mahomet se serait, au cours d’une nuit, envolé vers le Paradis sur sa jument Al Buraq, depuis la «mosquée lointaine» (Al Aqsa). 3- Le nom de Jérusalem, qui apparaît 700 fois dans l’ancien Testament et régulièrement dans les Évangiles, n’est pas cité une seule fois dans le Coran Les historiens, y compris les spécialistes de l’Islam, parmi lesquels le docteur Mordehai Kédar, situent cette mosquée non pas à Jérusalem, mais à Ji’irrana, une petite ville au nord de la Mecque, sur la route de Taaf où Mahomet se rendait régulièrement pour prier. Le nom de Jérusalem, qui apparaît 700 fois dans l’ancien Testament et régulièrement dans les Évangiles, n’est pas cité une seule fois dans le Coran. Il est également utile de noter que Jérusalem, tout au long de son Histoire, n’a jamais été la capitale d’aucun pays à part Israël. En 1967, alors en pleine guerre avec l’Égypte et la Syrie, l’État hébreu recommanda au roi Hussein de Jordanie de ne pas intervenir dans le conflit, au risque pour lui de perdre sa mainmise sur la ville sainte. Une recommandation qu’il ne voulut pas entendre. À l’issue de la guerre éclair, Israël, vainqueur, réunifia Jérusalem, pour, plus tard, l’annexer, donnant par la même occasion à la population locale un statut de résident, proche de la citoyenneté. Depuis, toutes les religions sont respectées dans cette ville modernisée et relativement prospère où chacun, Musulman, Juif ou Chrétien, peut accéder librement à ses lieux saints. Enfin, pas tout à fait… Malgré sa victoire écrasante, Israël a continué d’autoriser le Waqf, organisation islamique jordanienne, à administrer l’esplanade des mosquées, pourtant construite sur les restes des Temples de Hérode et de Salomon. Selon la loi coranique, seul un musulman a le droit de prier sur les lieux saints de l’Islam, ce qui conduit à une situation intenable, puisqu’aucun Juif ni Chrétien ne peut donc se recueillir à l’emplacement du Temple détruit par les romains. C’est ce que l’actualité retient sous le nom de «statu quo». Un statu quo de plus en plus difficile à respecter, des deux côtés. Car, comme son prédécesseur Yasser Arafat, le président actuel de l’Autorité Palestinienne, Mahmud Abbas, élu pour quatre ans en 2005 et toujours au pouvoir, trouve aisé d’inciter régulièrement son peuple à la révolte contre Israël par la diffusion de fausses nouvelles, où il apparaîtrait que les Juifs s’apprêtent à détruire la mosquée Al Aqsa pour y construire leur troisième temple. La grande question est de savoir jusqu’à quel point les médias et les dirigeants occidentaux se sont laissés berner par ce double langage des dirigeants palestiniens Cette tactique, destinée à unifier les foules contre un ennemi commun, a fonctionné en 1929, entraînant le massacre de la population juive de Hébron, puis en 2000, après qu’Arafat a refusé l’accord de paix qui lui était proposé à Camp David, et plus récemment en 2014 et 2015, tandis que Mahmud Abbas déclarait sur sa chaîne de télévision nationale que «tout Jérusalem appartient à l’Islam et qu’aucun Juif ne mettrait jamais ses pieds immondes sur l’esplanade des mosquées» (clip diffusé et traduit par Palestinian Media Watch). La grande question est de savoir jusqu’à quel point les médias, comme les dirigeants occidentaux, se sont laissés berner par ce double langage, pourtant habituel des dirigeants palestiniens. Récemment, une procédure intégrée dans la loi palestinienne, qui consiste à verser des sommes importantes aux terroristes enfermés dans les prisons israéliennes ainsi qu’aux familles des «martyrs» tués au cours d’une mission, souvent un acte suicidaire visant les populations civiles, a fait réagir le gouvernement américain, ainsi que d’autres pays occidentaux. Il a même été rapporté par les services secrets qu’au cours de sa visite auprès du président de l’autorité palestinienne, Donald Trump se serait emporté contre Mahmud Abbas, pour cette même raison: «Vous m’avez menti, lui aurait-il hurlé. Vous me parlez de paix quand les Israéliens m’ont apporté la preuve que vous êtes personnellement responsable de l’incitation à la violence». À son tour, la Norvège, ulcérée que des sommes versées à l’Autorité Palestinienne aient servi à financer un centre pour la jeunesse baptisée Dalal Mughrabi, du nom d’une terroriste ayant massacré 38 Israéliens dont 12 enfants en 1978, a annoncé qu’elle se désolidarisait du projet et exigeait la restitution des aides engagées. Les Nations unies ne sont pas en reste, malgré des décennies d’attaques systématiques contre l’État hébreu dues à la majorité arabe automatique. Le nouveau secrétaire général Gutteres a également retiré son soutien à de tels projets, regrettant la glorification du terrorisme qui est de mise sous la responsabilité du Fatah et de l’OLP. 4- La Russie reconnaît Jérusalem ouest comme capitale de l’État Juif mais n’y déplace pas son ambassade pour l’instant Pour en revenir à Jérusalem, c’est ce courant nouveau, issu d’un peu de réalisme, qui pourrait peut-être pousser, non seulement les États Unis, mais un grand nombre d’autres pays, à reconnaître enfin la capitale d’Israël. C’est d’ailleurs ce qu’a fait la Russie de Poutine, courant avril, en annonçant qu’elle reconnaissait Jérusalem ouest comme capital de l’État Juif mais n’y déplacerait pas son ambassade pour l’instant. Plus récemment, le parlement de la République Tchèque, à son tour, a exigé la même reconnaissance de son exécutif. Tout a été essayé pour tenter de satisfaire l’Autorité Palestinienne au détriment de l’État hébreu, y compris fermer les yeux sur sa forme de terrorisme promue au titre de «combat contre l’occupation». La paix était à ce prix, selon l’Union Européenne et l’administration d’Obama. Seulement le vent a tourné, et le terrorisme, qu’il soit islamiste ( Isis ) ou palestinien ( Hamas, Jihad Islamique et Fatah ), n’est plus toléré par un Occident blessé et révulsé. Car, si Mahmud Abbas voulait vraiment un pays pour son peuple, mettant ainsi fin à ce qu’il est convenu d’appeler «l’occupation israélienne», il lui aurait suffi d’accepter la main tendue d’Ehud Olmert en 2008. 98% de la Cisjordanie (ou Judée Samarie) ainsi que tout Gaza, lui étaient offerts sur un plateau, y compris le contrôle d’une grande partie de la vieille ville. Il lui aurait également suffi de retourner à la table de négociations, sans pré-condition, après l’échec des pourparlers de 2014, sous la houlette d’Obama et de Kerry. 5- Si Mahmud Abbas voulait vraiment un pays pour son peuple, il lui aurait suffi d’accepter la main tendue d’Ehud Olmert en 2008 Il lui suffirait peut-être maintenant d’accepter de reconnaître Israël comme État Juif, de renoncer à l’inonder par des millions de réfugiés non intégrables… Et d’accepter ce que l’Histoire, les guerres, les défaites, la logique territoriale, ont bien voulu lui donner. Ramallah comme capitale d’un état démilitarisé. À ce prix, la paix pourrait se faire. Mais il ne faut pas rêver. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.

Discours de Donald Jérusalem « On ne règle pas les problèmes en répétant les mêmes expériences qui ont échoué, ni en faisant les mêmes analyses stratégiques qui n’ont pas marché » C’est avec ces paroles de bon sens que le Président américain a prononcé, durant 12 courtes minutes très importantes, une déclaration de reconnaissance envers le peuple juif, et de sa légitimité tellement contestée sur sa terre – en fait la seule nation au monde dont la légitimité est encore contestée. Trump a rappelé que depuis 1995, tous ses prédécesseurs se sont abstenus de déclarer Jérusalem comme capitale d’Israël, et ont refusé de déplacer l’ambassade en pensant que cela aiderait à atteindre la paix, et Trump a pris ici les Américains, le monde et la diplomatie à témoin qu’après plus de 20 ans de ce choix, les parties ne sont pas plus proches de la paix aujourd’hui qu’il y a 20 ans. « Il faudrait être fou pour penser qu’en répétant exactement la même formule, on obtiendrait un résultat différent ou meilleur », a dit le président. C’est avec ce raisonnement logique et cohérent que Trump a donc annoncé qu’il fallait tenter une nouvelle approche pour atteindre la paix, et « qu’il est temps de reconnaître officiellement Jérusalem comme la capitale d’Israël ». C’est la reconnaissance par les Etats-Unis de la réalité sur le terrain que Jérusalem a toujours été depuis 1948 la capitale d’Israël, et c’est aussi pour cela, explique encore Trump, qu’il donne l’ordre immédiat d’y déplacer l’ambassade américaine. « Ma déclaration aujourd’hui marque le début d’une nouvelle approche du conflit entre Israël et les Palestiniens… » « Israël est une nation souveraine qui a le droit, comme toutes les autres nations souveraines, de décider de sa propre capitale », a ajouté Trump qui rappelle que jusqu’à ce jour, et selon les nations du monde, Israël n’avait pas de capitale. Trump affirme également que sa décision est selon lui la meilleure solution pour les Etats-Unis, et pour la poursuite de la paix entre Israël et les Palestiniens. D’ailleurs il ne parle pas de Jérusalem comme d’une capitale indivise ou indivisible, laissant la porte ouverte à toutes les négociations futures, et ne se déclare favorable à la solution à deux Etats que si les parties jugent que c’est la meilleure solution, conformément à sa doctrine générale de non ingérence dans les affaires des autres nations, s’écartant des positions néo-coloniales des Européens qui s’estiment en droit d’imposer leur diktat à ceux qu’ils voient encore comme des Etats inférieurs et redevables : l’Afrique, le Moyen-Orient. « Reconnaître le fait que Jérusalem est la capitale d’Israël dans la réalité est la condition nécessaire pour arriver à faire la paix ». Depuis 70 ans, détaille le président américain, Israël a installé dans sa capitale historique datant des temps anciens, le siège du gouvernement israélien moderne ; c’est la ville du parlement israélien, la Knesset, ainsi que de la Cour suprême israélienne ; c’est là que se trouvent la résidence officielle du Premier ministre, et celle du Président ; et les quartiers généraux de nombreux ministères. « Depuis des dizaines d’années, les Présidents, les Secrétaires d’Etats, les militaires qui viennent en visite en Israël, rencontrent leurs homologues à Jérusalem. » Durant les dernières soixante-dix années, les Israéliens ont établi à Jérusalem une ville libre pour les trois religions, pour que les pratiquants des trois monothéismes puissent librement pratiquer leur religion en paix. C’est un cas unique dans le tout Moyen-Orient, c’est la preuve au-delà des mots que seuls les juifs peuvent apporter les conditions de tolérance et de paix pour tous, tandis que toutes les autres options ne sont que promesses basées sur des suppositions et des rêves, rien de solide. Conclusion : Le Président Trump a fait là selon moi un court discours d’une immense importante symbolique, un témoignage concret de son amitié, et de l’amitié de l’Amérique pour Israël, et au delà, de respect du judaïsme et de son héritage multimillénaire. C’est un discours empreint de bon sens, d’une cohérence implacable et d’une logique extrêmement solide. Ce que j’ai entendu ce jour est à l’opposé total des péroraisons et de la folie qui domine les médias, des propos dément qui donnent à penser que ces gens, les élites et les journalistes, vivent dans un monde à l’envers. Ce que j’ai entendu ce jour sont les paroles d’un homme noble et plein de bon sens, qui a les pieds sur terre, la tête sur les épaules, et n’a pas froid aux yeux. Ce que j’ai entendu sont les propos d’un président qui tient parole – je vous mets au défi de m’en montrer d’autres – et dites que je suis vieux jeu mais ça, dans le monde de folie dans lequel nous vivons, où plus personne n’a l’élémentaire respect de sa propre personne, où les politiques échangent leur dignité pour un mandat, une voiture de fonction et des courbettes éphémères, c’est une chose qui compte et qui a de la valeur. Trump n’a pas non plus été impressionné par les menaces du monde. Comme il a eu raison ! Et pour tout vous dire, les Israéliens ne sont pas très inquiets des menaces des « jours de rage » promis par les Arabes palestiniens : ils cherchent encore en quoi cela sera différent des 365 jours qui viennent de passer, et des 365 jours qui les précédaient… Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Discours de Benjamin Netanyahou sur la reconnaissance du Président Donald Trump de Jérusalem « C’est un jour historique. Jérusalem est la capitale d’Israël depuis près de 70 ans. Jérusalem a été le centre de nos espoirs, de nos rêves, de nos prières pendant trois millénaires. Jérusalem est la capitale du peuple juif depuis 3 000 ans. C’est ici que nos temples se tenaient, nos rois régnaient, nos prophètes prêchaient… De tous les coins de la terre, notre peuple désirait ardemment retourner à Jérusalem, toucher ses pierres d’or, parcourir ses rues sacrées. Il est donc rare de pouvoir parler de jalons nouveaux et authentiques dans la glorieuse histoire de cette ville. Pourtant, la déclaration prononcée aujourd’hui par le président Trump est une telle occasion. Nous sommes profondément reconnaissants au Président pour sa décision courageuse et juste de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël et de préparer l’ouverture de l’ambassade des États-Unis ici. Cette décision reflète l’engagement du Président pour une vérité ancienne mais durable, pour tenir ses promesses et faire avancer la paix. La décision du Président est un pas important vers la paix, car il n’y a pas de paix qui ne fasse pas de Jérusalem la capitale de l’État d’Israël. Je partage l’engagement du Président Trump à faire progresser la paix entre Israël et tous nos voisins, y compris les Palestiniens. Et nous continuerons de travailler avec le président et son équipe pour réaliser ce rêve de paix. J’appelle tous les pays qui recherchent la paix à se joindre aux États-Unis pour reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël et à y déplacer leurs ambassades. Je tiens également à être clair : il n’y aura aucun changement au statu quo dans les lieux saints. Le peuple juif et l’État juif seront à jamais reconnaissants. Tel a été notre objectif dès le premier jour d’Israël. Israël garantira toujours la liberté de culte aux juifs, aux chrétiens et aux musulmans. Monsieur Trump, je vous remercie pour la décision historique prise aujourd’hui de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël. »

JERUSALEM CAPITALE ETERNELLE D'ISRAEL
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M
Al-Qods capitale des musulmans et la fin d’israél aujourd'hui pour éviter la vengeance d’ ALLAH par l’extermination des villes américains par des ouragans des tornades séisme plus 7 tsunami volcan apocalyptique incendie pire que l’incendie de Californie les foudres les météorites astéroïde grondement cri de ciel Netanyahu et aux israéliens de quitter la Palestine pour éviter la mort par un séisme et d’autres cataclysmes donc aux étrangers de quitter Usa et israél immédiatement.
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S
Imam<br /> Je suis ravis de ton commentaire sur ce sujet mais je vous informe que la page est deja tourner et l'histoire a toujours raison. Jérusalem fut la capitale d'Israël depuis 3000 ans et maintenant cest reconnu par la puissance mondiale. Parlant des incendies a haifa et ailleurs en Israël nous avons decouvert que c'est fut aussi un acte criminel de vous arabes.

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